Chemins de Wallonie asbl
Sauvegardons nos sentiers

Province de Hainaut Chimay Baileux Chemin n°i5 de Baileux

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xx A
↔226m
Le chemin démarre de la Rue de l'Eau Noire dans le village de l’Escaillère (photo n°1). Les habitants empruntent ce chemin depuis des temps immémoriaux Anciennes cartes. Il s’agit d’un point de passage transfrontalier connu et emprunté depuis des lustres

Mise-à-jour 2021: En juin 2020, la propriétaire des lieux a interdit de fait le passage aux promeneurs en démontant le pont qui permettait de franchir l’Eau Noire. Côté français, elle a également placé un panneau « Entrée interdite ».. Voir question parlementaire https://www.parlement-wallonie.be/pwpages?p=interp-questions-voir&type=28&iddoc=104011

: sentier
xx B
Après un petit pont enjambant l’Eau Noire, le chemin continue en France vers Regniowez

Mise-à-jour 2021: Le pont sur l'Eau Noire a été démoli, cet acte serait motivé par la volonté d'empécher les promeneurs de perturber la faune et la flore !

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Commentaires et archives

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  • Réaction lors de l'enquête publique pour le curage d’un étang avec la problématique du sentier 113 et du pont sur l’Eau-Noire
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chemin n°i5 de Baileux - Commentaire de Onderbeke

ASBL du Pays des Brûlys, des Rièzes et des Sarts et de COVIRIS (comité de vigilance des Rièzes et des Sarts). Le 20 mars 2021 Concerne : enquête publique concernant le site dit « du Moulin Bernard » entre L’Escaillère et Regniowez. Jusqu’au 1er avril, une enquête publique est en cours à L’Escaillère. Elle porte sur une demande de curage du plan d’eau et l’étalement de terres, le déboisement et la plantation d’un mélange d’essences feuillues indigènes en dérogation du plan de secteur au lieu-dit « Le moulin Bernard », côté belge. La demanderesse est Mme Marie-Claude Gillard, habitant Redu. Elle est propriétaire de l’étang en question et des terrains aux alentours. Cette zone comprend le 113 (repris dans l’atlas Vicinal) et le petit pont enjambant l’Eau Noire permettant de relier L’Escaillère à Regniowez. Une bonne partie de la population locale connait l’existence de ce chemin et de ce pont pour les avoir régulièrement empruntés. Ce chemin et ce pont existent depuis des temps immémoriaux et les habitants du coin les ont toujours utilisés. Il s’agit d’un point de passage transfrontalier connu et emprunté depuis des lustres. En juin 2020, la propriétaire des lieux a interdit de fait le passage aux promeneurs, sans explication et sans autorisation, en démontant le pont qui permettait de franchir l’Eau Noire. Côté français, elle a également placé un panneau « Entrée interdite ». Le comité de vigilance des Rièzes et des Sarts et l’ASBL des Brûlys, des Rièzes et des Sarts se sont émus de cette situation auprès de la Ville de Chimay. Après analyse de la situation, les autorités communales ont écrit à la propriétaire en confirmant que, concernant ce chemin, « il existe bien un droit de passage public sur sol privé à titre de servitude d’utilité publique au bénéfice des habitants des communes frontalières et autres promeneurs ». En dépit de ce rappel à la législation, rien n’a bougé sur le terrain et, à ce jour, le passage n’est toujours pas rétabli. ieux : aujourd'hui, nous apprenons que la propriétaire a introduit une demande de curage de son étang et pour des plantations. Mais dans le dossier consultable à l'administration communale de Chimay, on ne trouve même plus trace du chemin en question dans la cartographie ! Quant à la démolition du pont sur l'Eau Noire, cet acte serait motivé par la volonté d'empécher les promeneurs de perturber la faune et la flore. Un beau subterfuge pseudo-écologique pour interdire définitivement le passage et entériner la destruction du pont. Etrange argument quand tous les parcs naturels créent au contraire de nombreuses promenades sur leur territoire pour sensibiliser le grand public à l'environnement. Depuis quand de simples promeneurs portent-ils préjudice à la faune et à la flore ? Il est important de se manifester lors de cette enquête publique pour marquer son opposition à la disparition de ce chemin, programmée dans la demande de permis. Il convient de réagir pour empécher qu'un nouveau sentier ne disparaisse, alors même que les autorités prônent la mobilité douce. Laisser la situation en l'état et accepter que ce sentier soit définitivement interdit aux promeneurs supprimera, en outre, un des derniers points de passage pédestre entre la France et la Belgique à l'heure où l'Union européenne encourage la suppression des frontières dans les esprits et la libre circulation.

Photos 2

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